Le problème ce n'est pas l'impôt. Il est utile s'il finance des services publics et s'il est justement réparti. C'est pourquoi il faut une véritable réforme de la fiscalité : avec un impôt sur le revenu de type universel à taux et au nombre de tranches relevés, un impôt sur les entreprises modulé en fonction de leurs performances sociale et environnementale, un impôt sur la fortune rehaussé, un impôt territorial (TP) assis sur le capital des entreprises, une révision des bases d’imposition et le plafonnement de la taxe d’habitation, et le recul de la pression fiscale sur la consommation (TVA, TICPE), actuellement 60% des recettes fiscales).
Une telle réforme est possible, c'est une question de volonté.